26 Octobre 2015 rions
Ah! les gamins......!!!!!!......
> > > > > Un petit garçon est venu passer la journée chez son grand-père. Après déjeuner, celui-ci s'installe dans son fauteuil et allume sa pipe. Alors le gosse s'approche et lui demande :
> > > > > Papy ! Prête-moi ta pipe.
> > > > > -Non, ce n'est pas pour les enfants.
> > > > > -Papy, s'il te plaît, prête moi ta pipe.
> > > > > -Non, les enfants ne fument pas.
> > > > > -Mais je ne fumerai pas, je te le jure. C'est juste pour la tenir.
> > > > > -Tu me promets ? Bon, alors la voilà, fais-y attention...
> > > > > Le petit garçon prend la pipe, la jette par terre, et l'écrase à coups de talon. Stupéfait le grand-père crie :
> > > > > -Mais qu'est-ce qui te prend ? Pourquoi as-tu fait ça, petit galopin ?
> > > > > Et le gosse répond :
> > > > > -Parce que papa dit toujours : " Quand le pépé cassera sa pipe, je t'achèterai un ordinateur et on s'achètera une belle voiture ! ".
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> > Faites des gosses......!!!!!
> >
Une vieille petite dame marche sur le trottoir tirant deux sacs poubelle. Tout à coup, un des sacs se déchire et laisse sortir des billets de 5 euros…
Remarquant cela, un policier l’arrête et lui dit :
– Madame, il y a des billets de 5 euros qui sortent de votre sac.
– oh vraiment ? Je dois retourner et voir si je peux retrouver les autres que j’ai perdus. Merci de me l’avoir signalé, dit la vieille dame.
– Un instant, madame pas si vite, dit le policier. D’où vient cet argent ?
– oh non ! répond la petite vieille. Ma cour arrière est près d’un stade de football et durant les parties, quelques fans viennent pisser à travers la clôture de mon jardin de fleurs.
Alors ce que je fais, je me tiens près de la clôture avec une paire de sécateurs et à chaque fois qu’un gars sort son attirail pour pisser, je lui dis que «c’est 5 euros ou je la coupe».”
Le policier ajoute en riant :
– C’est bien normal, et lui souhaite bonne chance.
Mais avant de continuer son chemin il lui demande :
– Et dans l’autre sac qu’est ce qu’il y a ?
– Vous savez, dit la petite vieille, tout le monde ne paie pas…!!!
intrigué par « Le Jardin des délices » qui est en fait le bordel de la ville, un petit garçon demande à son père :
– Papa, c’est quoi « Le Jardin des délices » ?
– Heu… C’est une crêperie ! Mais comme elle est très chère, c’est pour les grandes personnes.
Le lendemain, en douce, le petit garçon casse sa tirelire et va sonner à la porte du « Jardin des délices ».
– Qu’est-ce que tu veux, mon petit bonhomme ? lui demandent ces dames.
– On m’a dit que vous faites de bonnes crêpes. J’ai des sous, je peux payer !
Attendries, elles l’installent dans un petit salon et courent à la cuisine lui faire des crêpes.
Le soir, le petit garçon dit à son père :
– Tu sais, papa, je suis allé au « Jardin des délices ».
– Quoi ? tu as fait ça ?
– Oui. Je m’en suis tapé quatre. La première était un peu mollassonne, mais la deuxième et la troisième étaient vraiment bonnes, chaudes et tout ! La quatrième, ça commençait à faire beaucoup, j’ai pas réussi à finir…
Le Parrain de la Mafia américaine, découvre qu’il y a dans la « famille » un traître qui a détourné 100 000 $. Fou de rage, il charge son adjoint Luigi de découvrir le coupable.
Deux jours plus tard, Luigi a trouvé le coupable. C’est Gaetano, le sourd-muet. Comme Luigi est le seul qui puisse communiquer avec lui par le langage des gestes, le Parrain lui demande de servir d’interprète.
– Comment as-tu pu me trahir, moi, ton parrain ! Traduis, Luigi.
Luigi traduit, et Gaetano baisse la tête piteusement.
– Maintenant, tu vas me rendre l’argent que tu m’as volé (poursuit le parrain). Traduis, Luigi.
Luigi traduit, mais Gaetano secoue la tête négativement.
– Si tu ne me rends pas l’argent, je te fais découper en rondelles ! (Hurle Le Parrain, fou de rage). Traduis, Luigi.
Luigi traduit, et Gaetano comprend que Le Parrain ne plaisante pas. Terrifié, il répond par gestes :
– Les 100 000 dollars sont cachés dans une enveloppe, sous le lit de la chambre 26 de l’hôtel San Lucia, à Brooklin.
– Alors ? Qu’est-ce qu’il a dit ? demande le parrain.
Luigi hésite un moment puis répond :
– Il a dit que vous étiez trop trouillard pour mettre votre menace à exécution, parrain.
C’est un homme qui rentre dans un bar, s’appuie sur le zinc, interpelle le barman et lui dit :
– Garçon, un whisky avant que ça recommence !
Le garçon un poil surpris lui sert son whisky et retourne vaquer à ses occupations.
Deux minutes plus tard, le même bonhomme redit :
– Garçon, un whisky avant que ça recommence !
Et ceci dure pendant plus d’une demi heure (ce qui doit faire approximativement 15 whiskys mais là n’est pas la question !).
Au bout d’une demi-heure le même homme dit toujours au Barman :
– Garçon, un whisky avant que ça recommence !
La dessus la femme du bonhomme arrive et lui dit :
– Bon, tu crois pas que tu as assez bu maintenant ?
Le gars se retourne alors vers le Barman et lui dit :
– Ça y est, ça recommence !